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Dans ce périple planétaire,
votre costume s'est défraîchi
et vos souliers se sont usés.
Regardez mon bon Maître,
que pour avoir parcouru
les mêmes kilomètres,
et veillé jour et nuit,
sur votre sécurité,
combien, je suis plus frais que vous !
Mon pelage brille encore
et mes coussinets sont intacts !
Souhaitez-vous, Maître,
qu'une nouvelle fois,
je vous narre l'aventure !


- Zouko, ici, au pied !
  Tu as dépassé les bornes,
  chien de malheur.
  Je devrais te chasser,
  mais j'ai pitié de toi !


 

 

Conte - Un parapluie pour deux - illustré par Jim Bouchet

Un parapluie pour deux
 
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